PROMENADE EN TRAÎNEAU
(A. Anderson / M. Parish)
Au petit trot
s'en va le cheval avec ses
grelots
Et le traîneau
joyeusement dévale à travers
les coteaux
Dans le vallon, s'accroche l'hiver mais le ciel est bleu
Dans le vallon, s'accroche l'hiver mais le ciel est bleu
Ah! Qu'il fait
bon faire un tour au grand air
comme des amoureux
Ho di up, ho di up, ho di up, ohé, ohé du traîneau
Emmitouflez-vous bien dans vos manteaux
Ho di up, ho di up, ho di up, ohé, pour se tenir chaud
L'un contre l'autre, on se blottit comme deux moineaux dans un nid
C'est merveilleux de voir défilant comme un décor peint
Ho di up, ho di up, ho di up, ohé, ohé du traîneau
Emmitouflez-vous bien dans vos manteaux
Ho di up, ho di up, ho di up, ohé, pour se tenir chaud
L'un contre l'autre, on se blottit comme deux moineaux dans un nid
C'est merveilleux de voir défilant comme un décor peint
Devant nos yeux,
les villages tout blancs et les
petits sapins
Parfois tu cries, car ça penche un peu, c'est l'instant d'effroi
Parfois tu cries, car ça penche un peu, c'est l'instant d'effroi
Moi, je souris,
j'ai le cœur amoureux et le bout
du nez froid
L'attelage a déjà pris le chemin du retour
Nous allons être surpris par la tombée du jour
L'attelage a déjà pris le chemin du retour
Nous allons être surpris par la tombée du jour
Je me vois déjà
près de toi, le rire aux yeux, le cœur content
Près du grand
feu de bois qui flambe et nous attend
Au petit trot
s'en va le cheval avec ses
grelots
Et le traîneau
joyeusement dévale à
travers les coteaux
Dans le vallon,
s'accroche l'hiver mais le ciel
est bleu
Ah! Qu'il fait
bon faire un tour au grand air
comme des amoureux
Ho di up, ho di up, ho di up, ohé, ohé du traîneau
Emmitouflez-vous bien dans vos manteaux
Ho di up, ho di up, ho di up, ohé, pour se tenir chaud
L'un contre l'autre, on se blottit comme deux moineaux dans un nid
Emmitouflez-vous bien dans vos manteaux
Ho di up, ho di up, ho di up, ohé, pour se tenir chaud
L'un contre l'autre, on se blottit comme deux moineaux dans un nid
C'est
merveilleux de voir défilant comme un
décor peint
Devant nos yeux,
les villages tout blancs et les
petits sapins
Parfois tu cries, car ça penche un peu, c'est l'instant d'effroi
Moi,
je souris, j'ai le cœur amoureux
et le bout du nez froidParfois tu cries, car ça penche un peu, c'est l'instant d'effroi
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